Marianne Fournigault est graphiste.
Depuis plusieurs années, Marianne participe au développement des techniques originales de twö avec un oeil esthétique de la question. Elle complète ce tandem en apportant sa patte artistique à la réflexion menée dans le projet de mise en valeur du bois. Toujours en phase d’apprentissage, elle s’applique à l’atelier afin de devenir autonome et pouvoir faire parler ses petites mains.
Théo Savarino est ébéniste, spécialisé en marqueterie.
Travailler le bois est une passion développée au fil de ses diverses expérimentations autour de ce matériau. La technique originale et le process de création développés par twö sont un savant mélange de marqueterie et des expérimentations menées par Théo au fil des années. Son goût pour les harmonies de couleurs et d’essences de bois font de lui l’étincelle créative du duo.
La marqueterie est une composition réalisée avec du placage de bois (feuilles de bois) et de diverses autres matières, découpés suivant un motif et collés sur un support (meuble, boiserie ou tableau), notamment en ébénisterie. Les images ainsi obtenues peuvent être géométriques (on parle alors de frisage), figuratives ou abstraites. Par extension, ce terme désigne la technique et le métier qui réalisent cette composition spécifique.
Depuis quelques années, le duo Marianne & Théo développe un savoir-faire unique.
Une association de techniques de marqueterie, d’ébénisterie et d’arts plastiques dont le seul objectif est de mettre en valeur le bois dans toute sa noblesse.
Les créations signées twö sont une fenêtre ouverte sur près de 4 ans de travail artistique, et le fruit d’un long apprentissage initié sur les bancs d’une école de graphisme à Paris et depuis mis en lumière à Nantes.
twö s’engage dans la conception d’œuvres artistiques ayant pour souci la mise en valeur des matériaux, sans traitement et sans teinte pour développer une collection originale, basée sur une volonté commune de sortir du contrôle et de l’appréhension du figuratif.
Rechercher l’évènement dans la matière, respecter les lignes du bois, l’imperfection perpétuelle du matériau et de chaque essence, son infinie noblesse. Ne plus casser les lignes des bois, leurs aspérités, leur singularité. Raconter sans illustrer, dessiner sans conceptualiser. Laisser le bois s’exprimer, mêler, associer, accorder mais ne pas dénaturer. L’abstraction n’est ici que la conséquence de l’histoire racontée par chaque essence.
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